Durant deux heures, Henri Thébault a une nouvelle fois démontré par une approche scientifique que la communication de l’usine marémotrice est orientée pour minimiser ses impacts environnementaux dans l’estuaire.
Les 147 chaises de la salle Philippe de Dieuleveut ont été vite occupées par un public très intéressé de découvrir les vérités et contre-vérités au programme de la soirée ce mardi 19 mai.
A avoir trop attendu depuis un demi-siècle bientôt, le devenir de l’estuaire se joue maintenant. Il est urgent que des objectifs de réhabilitation et qu’un plan de gestion des sédiments soient enfin décidés au plus haut niveau, par l’État, propriétaire du plan d’eau, avec EDF son concessionnaire.